Solutions restantes dans cette situation
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Bonjour, pouvez-vous m'aider svp? Lorsque vous voulez devenir fonctionnaire de police, que vos parents vous soutiennent. Flic de terrain, d'où l'expression Lorsqu'ils comprennent que vous êtes sérieux, et que vous êtes sur le point de vous inscrire à une sélection, vous êtes la cible de propos assez éprouvant, disons le comme cela. Certes, vous avez échoué à une des sélections de la police, ils vous aident à aller mieux, le point positif. Que lors du passage d'une sélection ADS, ils veulent que vous choisissiez une affectation que vous ne souhaitez pas avoir, Qu'ils vous disent: Ne fais pas flic, je ne veux pas de dégradations sur ma voiture. Qu'ils vous disent et cela a été le plus dur émotionnellement parlant: Si tu te fais blesser en service, ne comptes pas sur nous pour venir te voir à l'hôpital. Je ne sais pas si c'est de la peur, de l'intention de blesser, ou de destabiliser, mais là je crois que l'objectif n'est pas atteint! Que vous allez chez les frères d'armes d'en face, la gendarmerie, pour devenir gendarme adjoint volontaire, qu'ils sont d'accord avec vous, et que deux jours avant l'entretien, ils vous empêchent d'y aller pour une raison inconnue. Et pour la dernière session rebelote. J'ai déjà tout fait pour expliquer avec diplomatie mon choix, les raisons de ce choix etc..., mais rien y fait, lorsque je fais tout pour m'expliquer, je me retrouve confronté à un mur, et ils me répondent: "Nous ne voulons pas, pas chez moi, tu le feras quand tu auras ta maison, que tu n'as pas le profil pour, et que tu ne sais pas courir", et ce à chaque fois que tu veux expliquer encore et encore ton choix. . Que vos parents refusent catégoriquement que vous passiez un concours ( vu que je veux devenir GPX, puis officier ), et n'importe lequel de ces concours ou sélections, sous réserve de se retrouver à la rue. Que vos parents veulent à tout prix que vous fassiez un autre métier, sauf celui que vous voulez faire. Je ne sais pas, mais on dirait qu'il y a un beug dans le cerveau dès qu'ils entendent "police nationale" ou "gendarmerie" ou "les armées". Psychologiquement, je tiens le coup. Je fais du sport (footing pour le cardio, et exercices à la maison pour le développement musculaire), donc physiquement ça va.. Je sais que dans la police, des qualités de réflexion sont appréciées. Du coup, quelles sont les solutions possibles pour pouvoir sortir de cette situation particulière? Je vous remercie
Anonyme a posé une question à Nicolas A.
Catégorie: Général
Date: mardi, novembre 26, 2019
Dernière révision: mercredi, novembre 27, 2019
Simon A.
Gardien de la Paix - Police Secours
mercredi, novembre 27, 2019
Eric A.
Adjoint administratif - Conseiller en recrutement
mercredi, novembre 27, 2019
Anonyme
mercredi, novembre 27, 2019
Eric A.
Adjoint administratif - Conseiller en recrutement
mercredi, novembre 27, 2019
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